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Trent Dalton est journaliste pour « The Weekend Australian Magazine » et scénariste. 

Il a été plusieurs fois récompensé pour ses articles, notamment son recueil « Detours : Stories from the Street » (2011), résultat de trois mois d’immersion dans des communautés de sans-abris de Brisbane. 

Son travail de scénariste a également été couronné de prix prestigieux comme le prix Canal+ International, décerné par le Festival du Court-Métrage de Clermont-Ferrand, pour « Glenn Owen Dodds » (2010) avec David Wenham. 

« Le garçon et l’univers » (« Boy Swallows Universe », 2018) est son premier roman.

Livre lu et chroniqué : Le garçon et l’univers

Marie-Laure De Cazotte, Historienne de l’art, dotée d’une double formation française et britannique, elle a publié de nombreux articles sur les collectionneurs, musées et expositions. Elle a été en charge de différents départements chez Christie’s et, sous l’égide du groupe LVMH, a créé et dirigé Phillips de Pury France. En parallèle de l’écriture, elle a une activité indépendante de conseil après de collectionneurs et d’entités culturelles.

Livre lu et chroniqué : Un temps égaré

Frédérique Deghelt est une romancière, journaliste, réalisatrice de télévision. Elle est écrivain à temps plein depuis 2009.

Frédérique Deghelt a publié en 1995, aux éditions Sauret, un premier roman, « Mistinguett, La valse renversante ». S’en suivent : « Je porte un enfant et dans mes yeux l’étreinte sublime qui l’a conçu » (2007), « La vie d’une autre » (2007), « La grand-mère de Jade » (2009), « Le cordon de soie » (2011). « La vie d’une autre » est porté au cinéma par Sylvie Testud, en 2012, avec Juliette Binoche et Mathieu Kassovitz. En 2016, « Libertango » obtient le Grand prix de la ville de Vannes. 

Livre lu et chroniqué : Les brumes de l’apparence

Maylis De Kerangal a été éditrice pour les Éditions du Baron perché. Elle est l’auteur aux Éditions Verticales de deux romans et d’un recueil de nouvelles.
Son roman « Corniche Kennedy » (2008) a été unanimement salué par la presse et le grand public.

Livre lu et chroniqué : Réparer les vivants

Grégoire Delacourt est écrivain et publicitaire.

En 2011, il publie son premier roman, « L’Écrivain de la famille » , qui a reçu de nombreux prix, dont Prix Rive Gauche à Paris 2011 et Prix Marcel Pagnol 2011.

« La liste de mes envies » (2012), son second roman, a été acheté par 27 pays et a fait l’objet d’une adaptation au théâtre en 2013. L’adaptation cinématographique est sortie en 2014, avec Mathilde Seigner, Marc Lavoine et Patrick Chesnais.

Son troisième roman, « La Première chose qu’on regarde ». En 2014, il sort « On ne voyait que le bonheur », sélectionné pour le Goncourt, qui reçoit le Prix des Lectrices Edelweiss, le Prix Goncourt des Fougères 2014 et est élu Meilleur roman de l’année 2014.

En 2018 , Lattès publie son septième roman, « La femme qui ne vieillissait pas » puis  » Mon Père » en 2019.

Livre lu et chroniqué : la femme qui ne vieillissait pas

Sonja Delzongle est journaliste et romancière.

« À Titre posthume » (2009), un thriller dont l’intrigue se déroule dans le monde de l’édition, est son deuxième roman après « La Journée d’un sniper » paru en octobre 2007 chez Jacques André Éditeur, Lyon. C’est en 2011 qu’elle commence l’écriture de « Dust ». Sa passion pour l’Afrique, qui remonte à sa petite enfance, l’a amenée à y faire de multiples séjours. Elle a reçu le Prix Anguille sous roche 2015 pour « Dust ».Dana Skoll est son pseudonyme pour la littérature jeunesse et fantasy.                                                                                   Livre lu et chroniqué : Quand la neige danse

Thiébault De Saint-Amand est originaire du nord de la France et réside actuellement en Bourgogne. Il est l’auteur d’une série Pulp Les dessous (en dentelle) de l’Élysée et de romans, dont Hospice and Love . Les éditions du 38 accueillent Phil Mazelot pour une série de polars musicaux et argotiques se déroulant dans la France des années 30.

Livre lu et chroniqué : Blue note pour héroïne brune Tête à tête : interview

Christophe Desmurger raconte une année à l’école dans « Des plumes et du goudron » (Fayard). Un roman où l’enseignant se confronte tant bien que mal à la réalité de son métier.

« L’assassinat de Gilles Marzotti » est son deuxième roman. Un roman noir où le héros tente tant bien que mal de garder la tête au-dessus du niveau de la mer, du zéro bancaire.

Qu’a-t-on fait de nos idéaux de jeunesse? Les amitiés résistent-elles à l’absence et au temps qui passe? Que devient la « RAGE »? (Fayard, 6 mars 2019)

Livre lu et chroniqué : Rage

Virginie Despentes est romancière et réalisatrice.

Baise moi (1993, Florent Massot) vendu à plus de 40 000 exemplaires puis adapté au cinéma, et Les Chiennes savantes (1995). Elle est traduite en plus de dix langues. Son roman « Les jolies choses » (1998) est adapté au cinéma par Gilles Paquet-Brenner, reçoit le Prix de Flore. « Bye-Bye Blondie » parait en 2004, elle l’adapte et le réalise pour le cinéma avec Béatrice Dalle et Emmanuelle Béart en 2012.

En 2010, son roman « Apocalypse bébé » (Grasset) reçoit le Prix Renaudot. En 2015, elle publie Vernon Subutex 1 et 2 chez Grasset. Vernon Subutex 1 reçoit le prix Landerneau 2015. Il fera l’objet d’une adaptation sur petit écran pour Canal Plus.

Livre lu et chroniqué : Vernon Subutex

Delphine De Vigan est une romancière et réalisatrice française née le 1er mars 1966 à Boulogne-Billancourt. Elle est l’auteur de sept romans dont No et moi en 2007 qui a été couronné par le prix des libraires.

Livres lus et chroniqués : 

Patrick DeWitt est un écrivain et scénariste canadien né sur l’Île de Vancouver, en 1975.Il vit actuellement dans l’Oregon. « Les frères Sisters » a figuré dans la dernière sélection du Man Booker Prize 2012, la plus haute distinction littéraire au Royaume-Uni.   Livre lu et chroniqué : Les frères Sisters

Jean-Marc Dhainaut est avant tout quelqu’un de curieux et très passionné. Tant par les contextes médiévaux, l’histoire, le voyage dans le temps, que par les légendes de Bretagne qu’il affectionne tout particulièrement. Le plaisir de l’écriture, d’abord de nouvelles, lui est venu naturellement, comme un déclic. Selon lui, rien n’est jamais le fruit du hasard, mais du destin. Fier de ses racines du nord, des valeurs et de l’âme de sa région qui lui ont été transmises par sa famille, modeste et ouvrière, il aime retranscrire ces valeurs et son univers au travers de ses écrits, souvent chargés d’émotions, de mystères insolites et surnaturels.

Livre lu et chroniqué : La maison bleu horizon

Joël Dicker est un écrivain suisse de langue française.Depuis son plus jeune âge, Joël se passionne pour la musique et l’écriture. A l’âge de sept ans, il fait ses premières armes de musicien à la batterie. A l’âge de dix ans, il fonde La Gazette des Animaux, une revue sur la nature qu’il dirigera pendant sept années et qui lui vaudra de recevoir le Prix Cunéo pour la protection de la nature et d’être désigné « plus jeune rédacteur en chef de Suisse » par La Tribune de Genève.Il fait ensuite ses premiers pas d’écrivain.En 2010, il reçoit le Prix des écrivains genevois pour son premier roman « Les derniers jours de nos pères ».

En septembre 2012 sort son deuxième roman « La vérité sur l’affaire Harry Quebert » qui fait partie de la première sélection pour le prix Goncourt et le prix Femina, et reçoit le prix littéraire de la vocation Bleustein-Blanchet, le Grand Prix de l’Académie Française, le prix Goncourt des lycéens et le prix Tulipe.

Livre lu et chroniqué : Le Livre des Baltimore

Jean-Paul Didierlaurent est un romancier et nouvelliste. 

Il a vu ses nouvelles publiées dans les recueils « Corrida de muerte », « Arequipa » et « Le Frère de Péret » avant de remporter le prix Hemingway 2010 avec « Brume » et le Prix Hemingway 2012 avec sa nouvelle « Mosquito ».
Son premier roman, « Le liseur du 6h27 » (2014), édité au Diable Vauvert, connait un succès aussi fulgurant.

Livre lu et chroniqué : Le liseur du 6h27

Francesco Dimitri est un auteur de romans fantastiques et d’essais.

Après avoir vécu dans sa ville natale et à Rome, il s’installe définitivement à Londres. 

Livre lu et chroniqué : Le livre des choses cachées

Serguei Dounovetz est un auteur de romans policiers français. Il est le créateur de la série « Niki Java ». il écrit également sous pseudonyme Chefdeville.

En 1994, il sort son premier roman Moviola aux Éditions Le Dilettante.

Depuis, il se consacre entièrement à l’écrit (romans, nouvelles, scénarios de BD). Il anime également des rencontres et des ateliers d’écriture en milieu scolaire et dirige la collection « Polar Rock » aux Éditions Mare Nostrum. Son roman Le Marabout de Barbès a été récompensé en 2006 par le prix Polar jeunesse de Montigny-lès-Cormeilles.

Livre chroniqué : Les loups de belleville

Nicolas Duplessier : « Été pourri à Melun-Plage » (2016), un roman noir et cinglant qui raconte la descente aux enfers d’un loser pas du tout magnifique, est son premier ouvrage.

Livre lu et chroniqué : Été pourri à Melun-PlageTête à tête avec l’auteur , réponse à vos questions

Clara Dupont-Monod écrit « Eova Luciole », publié en 1998.  « La passion selon Juette » (B. Grasset, Paris, 2007),
Ce roman a obtenu le prix Laurent Bonelli qui était décerné pour la première fois et fut retenu dans la dernière liste du Prix Goncourt 2007.
En 2011, elle publie « Nestor rend les armes », un texte sur un homme obèse. Ce roman est retenu sur la première liste du prix Fémina 2011. « Le roi disait que j’étais diable, »

Livre lu et chroniqué : Le roi disait que j’étais diable

Eric Dupuis, puise dans son expérience de policier pour écrire ses polars. Conseiller technique pour le cinéma et la télévision, il est passionné par le Krav-maga, discipline qu’il enseigne depuis de nombreuses années.
Auteur valdoisien, Éric Dupuis a publié sept romans policiers. Son expertise dans la Police nationale comme major-instructeur le fait repérer par le milieu du cinéma où il devient conseiller technique et comédien sur les plateaux de tournage
(Julie Lescaut, Profilage ou Polisse de Maïwenn). Il finit par écrire ses propres romans dans lesquels les héros ne sont ni commissaires ni lieutenants, mais des hommes de terrains, des gardiens de la paix dans leurs uniformes bleus.

Livre lu et chroniqué : Des larmes d’or et de sang